Son entourage serait en contact avec Mercedes et Aston Martin, bien que ces deux équipes se disent officiellement satisfaites de leurs duos actuels. Chez Aston Martin, Fernando Alonso et Lance Stroll ont déjà un contrat pour 2026, mais chez Mercedes, en revanche, aucun des deux pilotes actuels, George Russell et Kimi Antonelli, n’est encore engagé au-delà de cette saison.
Russell se positionne, au cas où...
Dans ce climat incertain, George Russell aurait commencé à sonder ses options en arrivant en Arabie saoudite avec son manager Harry Soden (photo ci-dessus), notamment en discutant avec Christian Horner, le patron de Red Bull, probablement pour se positionner au cas où Verstappen activerait sa clause de sortie, valable si le Néerlandais ne figure pas dans le top 2 au classement du championnat à l’été.
Un échange Verstappen-Russell paraît logique si Max rejoint Mercedes, mais en F1, la logique n’est pas toujours reine. Si Verstappen optait pour Aston Martin, Red Bull serait dans l’embarras, et Horner pourrait aller chercher un pilote hors du Junior Team.
Un plan B avec Alpine ?
Autre hypothèse évoquée : une année sabbatique pour Verstappen, avant un retour en 2027 avec l’équipe la plus compétitive.
Quant à Russell, s’il n’obtient pas un volant chez Red Bull, une option Alpine se dessine. L’écurie française sera motorisée par Mercedes à partir de 2026, et Russell connaît bien le patron d’Alpine, Oliver Oakes, depuis ses années en F3. Un coup de pouce de Toto Wolff dans ce sens ne serait pas à exclure en cas d’arrivée de Verstappen chez Mercedes puisque l'écurie française sera motorisée par la firme à l'étoile en 2026.
Bref, les cartes du marché des transferts 2026 commencent à s’abattre… mais le jeu est loin d’être terminé.