L'improbable mésaventure d'un Tsunoda "en pyjama" presque interdit d'entrer aux USA

Hier à 02:39 PM

Avant le Grand Prix de Las Vegas, Yuki Tsunoda a connu une mésaventure peu commune pour un pilote de Formule 1.

Au moment d'entrer aux États-Unis avant de disputer le Grand Prix de Las Vegas ce week-end, Yuki Tsunoda a "failli être renvoyé" chez lui par le contrôle de frontière aux USA.

"Heureusement, ils m'ont laissé entrer après quelques discussions", a tout d'abord expliqué Yuki Tsunoda à Las Vegas. "En fait, il y a eu beaucoup de discussions. Mais oui, j'ai failli être renvoyé chez moi. Tout va bien, donc je suis ici maintenant."

"Je me suis occupé des visas et de tout le reste. C'est la même chose pour les trois derniers circuits, n'est-ce pas ? J'ai pu entrer sans problème sur le circuit précédent. J'ai trouvé un peu étrange que l'on m'arrête et que l'on discute avec moi."

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Tsunoda bloqué environ deux à trois heures 

"Heureusement, cela n'a pas duré plus de deux ou trois heures. Mais oui, j'ai senti que le voyage allait être long pour moi. Ce n'est pas la première fois que nous venons ici cette année. J'ai entendu beaucoup de choses, mais j'espère que tout se passera bien à l'avenir."

"Il y avait mon physio avec qui je voyage, mais quand vous passez la douane, vous allez individuellement. Soudain, [l'agent] m'a mis dans une pièce et lorsque j'ai discuté avec lui, j'ai dit : 'Est-ce que je peux amener la personne avec laquelle je vais voyager ? Peut-être qu'il peut m'aider à expliquer un peu plus sur moi et la situation en Formule 1 ?'"

"Mais ils ne m'ont pas autorisé, ni même à appeler qui que ce soit. Je voulais appeler l'équipe ou peut-être la F1 pour qu'ils m'aident. Mais dans cette pièce, on ne peut rien faire."

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Un pilote de F1 interrogé en… pyjama

Alors que cette mésaventure a duré plusieurs heures, pour prouver son identité, Yuki Tsunoda n'était pas aidé par sa tenue puisqu'il portait… un pyjama.

"Je portais un pyjama, alors peut-être que je n'avais pas l'air d'un pilote de F1", reconnaît-il. "Je suis sûr qu'il [le douanier] le savait. Lors de la conversation, il m'a même demandé mon salaire et tout le reste. C'est une chose inconfortable, j'ai l'impression que les choses pour lesquelles j'ai subi beaucoup de pression de leur part, je ne pouvais rien dire. Si je dis quelque chose, j'ai l'impression d'avoir encore plus de problèmes. J'espère que tout est résolu. Heureusement, tout s'est passé sans problème."

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