David Coulthard : Kyalami est prêt pour la F1

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Les candidats se bousculent pour intégrer le championnat en raison de l'incroyable popularité actuelle de la Formule 1 et on sait que l'Afrique constitue une priorité pour le détenteur des droits commerciaux Liberty Media.

Dans le contexte d'un calendrier en principe limité à 25 manches, la perspective de voir certaines épreuves organisées en alternance, essentiellement en Europe, devrait libérer quelques dates à l'horizon 2027 ou 2028 pour un retour en Afrique.

En concurrence avec le Rwanda et le Maroc

Le promoteur local de Kyalami a obtenu l'assurance d'un soutien de la part du gouvernement et cela devrait faciliter le financement du Grand Prix, le premier en Afrique depuis trente ans malgré la concurrence potentielle de projets au Rwanda, où se déroulera l'Assemblée générale de la FIA en décembre prochain, et au Maroc où Eric Boullier, l'ancien directeur du Grand Prix de France, collabore avec les autorités de Tanger.

L’Afrique du Sud continue de travailler à son retour au calendrier mondial avec le spécialiste Apex Circuit Design en préparant son historique circuit de Kyalami à une homologation au Grade 1 par la FIA. Le dossier pourrait être bouclé dans moins d'un an pour viser un feu vert pour 2027. Kyalami a commencé à accueillir la Formule 1 dans les années 60 et l’avait retrouvée après l’apartheid en 1992 et 1993 avant de disparaître totalement.

Le verdict favorable de Coulthard

Au début du mois d’octobre dernier, Red Bull est venue y participer à un événement avec une RB7 de 2011 avec son ancien pilote devenu ambassadeur David Coutlhard (photo ci-dessus). L’Ecossais a pu rouler sur le circuit et a lui-même donné un retour très positif.

"Piloter la RB7 ici à Kyalami a été inoubliable, a déclaré DC. Avec l’énergie de l’Afrique du Sud et le circuit de classe mondiale de Kyalami, il est clair que le pays est prêt à rejoindre le calendrier de la F1."

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