Oliver Oakes se félicite de la dynamique positive mise en place

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Après un début d’année 2024 difficile, l’écurie française a réussi à remonter au classement en introduisant des améliorations notables, notamment un double podium au Brésil en fin de saison.

En 2025, l’équipe devra jongler entre le développement de sa monoplace actuelle et la préparation de la révolution réglementaire de 2026. Oakes insiste sur l’importance d’un équilibre entre ces deux aspects, soulignant que les performances actuelles restent essentielles pour bâtir l’avenir.

Un bon groupe à Enstone

Pierre Gasly, auteur de bonnes performances en fin de saison, restera un pilier de l’équipe, épaulé par Jack Doohan, qui remplacera Esteban Ocon, ainsi qu'un réserviste de luxe en la personne du prometteur Franco Colapinto.

« Il n’y a pas de miracle, a confié Oakes au site officiel de la F1. Il faut juste que l’équipe travaille ensemble. Il s'agit de produire une meilleure voiture. L’un des principaux points positifs de 2024 est que nous avons apporté de la performance à la voiture. Nous avons connu un début de saison difficile, mais les améliorations que nous avons apportées ont porté leurs fruits. Nous l’avons fait deux fois. Cela montre que nous avons un bon groupe à Enstone. »

Répartition des ressources

« C’est un gros compromis, admet-il à propos du double programme de développement. Il faut donner des ressources à la voiture actuelle et aussi se préparer au changement de réglementation pour 2026. Il y a encore beaucoup de choses importantes à faire aujourd’hui qui seront toujours pertinentes dans un an, même avec les nouveaux changements de réglementation. De notre côté, nous travaillons sur tous les fronts. »

« Les règles seront différentes, mais vous continuerez à améliorer tous les outils de performance qui entrent en jeu dans le développement d’une voiture, pousuit le manager britannique. Vous devez toujours apporter de la performance, car peu importe les changements de réglementation, cela reste la base de la course. »

« Nous devrons évidemment veiller à allouer suffisamment de ressources pour ne pas être à la traîne en ce qui concerne les règles de 2026, mais nous devons continuer à avancer en 2025, conclut-il. Il y a encore beaucoup à gagner. »

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